Rechercher dans ce blog

mardi 16 novembre 2021

Fabiola, reine des Belges 1928-2014


 Aristocrate espagnole, Fabiola Fernanda María Victoria Antonia Adelaida de Mora y Aragón, sixième enfant de Gonzalo de Mora y Fernández Riera, marquis de Casa Riera, comte de Mora 1887-1957 et de Blanca de Aragón y Carrillo de Albornoz 1892-1981, épousa le 15 décembre 1960 Baudouin I, roi des Belges 1930-1993.

50 commentaires:

  1. Doña Fabiola de Mora y Aragon, reine des Belges (1928-2014)

    RépondreSupprimer
  2. la reine des Belges née en 1928: doña Fabiola de More y Aragón, veuve aujourd'hui défunte du roi Baudouin 1er (né en 1930)

    RépondreSupprimer
  3. Une reine photographiée au début des années 1960.

    RépondreSupprimer
  4. on ne va pas tarder à commémorer sa disparition: ses dates = 11juin 1928/5décembre 2014

    RépondreSupprimer
  5. SM la cinquième reine des Belges née Dona Fabiola de Mora y Aragon

    RépondreSupprimer
  6. Fabiola de Mora y Aragón (11/06/1928-05/12/2014)

    RépondreSupprimer
  7. fabiloa de belgique

    RépondreSupprimer
  8. 6ème d'une fratrie de 7 enfants.
    L'aînée a eu 10 enfants, le cadet : 14 enfants, la 3ème : 8 enfants, le 4ème : 3 enfants, 5ème et 6ème sans postérité, la 7ème : 2 enfants.

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Plus âgé de 3 ans, décédé près de 20ans avant elle et 2 ans après l’époux bien-aimé qu’elle avait enterré, son frère immédiatement aîné était souvent nommé par les reporters à sensation par un sobriquet fabriqué par eux à partir du prénom de notre énigme; il menait une vie bien moins édifiante que celle de l’inconnue: 2 fois marié, fêtard absolu, il s’est commis comme acteur avec une carrière peu significative; il est certain que la sœur et le beau-frère, tous deux confits en dévotion, ne devaient pas le rencontrer avec un plaisir délirant!! Mais ses actions touristiques sur la Costa-del-Sol lui ont mérité l’érection d’une statue dans ce haut lieu des fêtes de la Jet_set

      Supprimer
  9. La reine des belges, née Doña Fabiola de Mora y Aragón.

    RépondreSupprimer
  10. Fabiola de Mora y Aragón (1928-2015), épouse de Baudouin roi des Belges.

    RépondreSupprimer
  11. Fabiola de Mora y Aragón reine des Belges

    RépondreSupprimer
  12. Elle a exercé sa fonction durant près de 33 ans

    RépondreSupprimer
  13. Cette dame, que tout le monde a sans doute reconnue, descend du roi Pedro "le cruel" qui régna sur la Castille au milieu du XIVème siècle. Cela l'apparente forcément aux Habsburg, le père de Pedro étant l'ancêtre direct de Charles Quint, aux capétiens, aux Wittelsbach et, par conséquent, la relie à une thématique abordée dans nos jeux précédents!
    Une partie de ses ascendants, du coté de sa mère, prospéra à La Havane pendant plusieurs siècles et certains d'entre eux étaient, même, originaires du pays dont elle devint la reine. Le patronyme d'une de ces familles était très gourmand : de Sucre!

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Très intéressant; merci Cecil. À la fin du jeu, pourriez-vous nous faire le 'crayon généalogique' des ancêtres de cette reine et spécialement de ceux originaires du pays dont elle épousa le souverain ?

      Supprimer
    2. L’ancêtre roi de Castille, Pedro 1er, était surnommé «el Cruel» par ses détracteurs, mais également «el Justo» ou également «el Justiciero» par ses partisans; les historiens le font généralement naître le 30 août 1334 à Burgos, et d’après eux il serait mort le 23 mars1369 à Montiel, une petite commune des environs de Ciudad Real mais aussi de Valdepeñas (les amateurs de bon vin connaissent), mais pour la précision des dates, il faut les donner avec réserves, car les documents d’Etat Civil de l époque sont toujours sujets à caution ; cependant, pour la plupart d’entre eux, il semble que Pedro 1er ait été assassiné par son frère Enrique de Trastámara: une scène souventes fois décrite dans la littérature; espérons que le côté sanglant de la chose n’ait pas perturbé le sommeil de leur descendante inconnue de notre groupe: de toute façon depuis le temps il y a prescription
      Bises à tous

      Supprimer
    3. Blanca de Aragón, mère de Fabiola (née à Getaria, comme Cristóbal Balenciaga) était la petite-fille d'Anatasio Carrillo de Albornoz, né à La Havane en 1834 et décédé à Madrid en 1871.
      -Feliciana Núñez del Castillo (1744-1808), arrière-grand-mère d'Anastasio, était la fille de Juan José Núñez del Castillo, marquis de San Felipe y Santiago (1704-1758) et de Feliciana de Sucre (décédée en 1750).
      -Juan Núñez del Castillo (né en Espagne en 1660), père de Juan José, fut le premier de sa lignée à s'établir à La Havane, où il est mort en 1725. Il est le descendant direct du roi Pedro de Castille à la neuvième génération, par un des fils naturel, Diego de Castilla; le patronyme évoluant ainsi : de Castilla,
      de Castilla del Castillo, de Castilla Núñez del Castillo et Núñez del Castillo.

      Intéressons nous maintenant à la famille maternelle de Feliciana Núñez del Castillo.
      -Sa mère, Feliciana de Sucre et son grand-père, Carlos de Sucre, étaient nés à Cadix (date inconnue pour elle et 1665 pour lui), la mère de Carlos, Maria de Sanchez, étant espagnole, puis Carlos avait migré vers le Nouveau Monde pour mourir à Caracas en 1746. En revanche, Feliciana de Sucre était décédée à la Havane en 1750.
      -Le père de Carlos, Charles-Adrien de Sucre, marquis de Preux était né "belge" en 1641 et mort français en 1712. En effet, la région de l'Avesnois où il vivait et était possessionné (communes de Bellaing, Oisy, Orsinval et Preux), était, traité des Pyrénées oblige, devenue française en 1659.
      -Les aïeux des Sucre se sont unis à diverses familles nobles du Hainaut et du Namurois : les Yve, Argenteau, Grandpré, Thuin etc... lesquelles familles descendaient diversement des Carolingiens, Capétiens, ducs d'Aquitaine, de Normandie, Clèves, Lorraine, des empereurs byzantins (dynastie Komnenos), des comtes d'Anjou et rois de Jérusalem, des comtes de Champagne mais encore de futures grandes maisons de la noblesse belge : Ligne, Croÿ, Limburg(-Stirum).

      Supprimer
  14. Reine Fabiola de Belgique , née de Mora y Aragon .

    RépondreSupprimer
  15. SAR Fabiola reine des Belges

    RépondreSupprimer
  16. Fabiola de Mora y Aragon (1928-2014), épouse de Baudouin de Belgique

    RépondreSupprimer
  17. J'ai fait une mise au point dans l'article précédent à propos de nos mariages Habsburgo-Capétiens car j'ai réalisé que j'en avais omis un (l'avant-dernier en date), ce qui donne 60 alliances entre les deux dynasties entre 1281 et 2020.

    RépondreSupprimer
  18. Son époux est décédé dans le pays de notre énigme et elle est décédée dans le pays de son époux.

    RépondreSupprimer
  19. Fabiola de Mora y Aragon, Reine de Belgique, 1928-2014.

    RépondreSupprimer
  20. S.M La Reine Fabiola de Mora y Aragón, née le 11 juin 1928 à Madrid et morte le 5 décembre 2014 à Bruxelles, est une aristocrate espagnole devenue, par son mariage avec le roi Baudouin de Belgique, la cinquième reine des Belges de 1960 à 1993, à la mort de son époux. Salutation

    RépondreSupprimer
  21. Un Hôpital porte son jolie Prénom ,Notre Illustre Dame porte ici un Diadème qui avait été offert par le Peuple a une Princesse pour son mariage 1926 ,Ce Diadème est modulable .Notre Illustre Dame est décédé 21 ans après son époux, salutation

    RépondreSupprimer
  22. SM la Reine Fabiola de Belgique née de Mora y Aragon (1928-2014)

    RépondreSupprimer
  23. La reine Fabiola de Belgique.

    RépondreSupprimer
  24. La Reine Fabiola de Belgique

    RépondreSupprimer
  25. La reine Fabiola de Belgique (1928-2014)

    RépondreSupprimer
  26. La reine Fabiola (1928-2014 )

    RépondreSupprimer
  27. D’accord avec votre analyse, cher Karl, mais un détail me dérange sur ce superbe joyau qui, comme vous le dites est modulable: si on visionne de multiples photos où on le voit arboré, on peut souvent se demander si le cliché n’a pas été inversé; en effet la partie basse est constituée d’une grecque inclinée, mais justement sur certaines photos les motifs sont inclinés droite-gauche et sur d’autres c’est l’inverse. La photo proposée a été prise le jour du mariage de la dame qui avait choisi de lutter contre le froid de ce jour-là (à quelques jours de Noël, sous ces latitudes, c’est compréhensible!) en faisant border de blanche fourrure (on avait parlé d’hermine) sa traîne-manteau de cour; il est vrai qu’elle devait trouver une grosse différence avec le climat de son pays d’origine, même si en hiver sa capitale de naissance est largement aussi froide; parlant de cette cité, ne dit-on pas: 3 mois d’hiver, 9 mois d’enfer!
    Cela n’enlève rien à la beauté du bijou, qu’il soit porté dans son intégralité ou «seulement» dans la partie basse: d’une manière ou d’une autre, il est l’apanage des épouses du chef de maison; celle qui l’avait reçu en cadeau de mariage ne l’appréciait pas tel que reçu, mais afin de ne pas heurter les donateurs, c’est elle qui l’avait fait modifier, faisant ajouter à la partie haute des motifs rhomboïdaux autour des 11 diamants qui le surmontent et peuvent être portés en collier
    Cela mis à par, je crois devoir des excuses à notre collectivité: en postant mon identification, il me semble avoir fait une faute de frappe sur la lettre finale du premier patronyme de la dame: il faut lire un A et non un E comme je crois l’avoir mis. Mea culpa!
    J’espère que l’état de votre jambe continue à s’améliorer ; bises

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. L'épouse d'un de ses neveux (par alliance), avec laquelle elle partageait des origines cubaine, choisit pour son propre mariage, une modèle de robe qui semblait s'inspirer de la sienne.

      Supprimer
    2. (Daniele.B) BONSOIR Je cherche différente photo, mais je trouve seulement ou l'on voie le diadème incliné gauche droite comme sur la photo que notre Grand Maitre nous propose ,possiblement un effet de miroir ,mais chose est certaine les différente Reines et une Princesse de ce pays magnifique on porté le diadème avec ses versions différentes et il est magnifique, Salutation

      Supprimer
    3. Bonsoir Karl; pour le moment de la solution, je mettrai un exemple de cette inversion, (mais il est vrai que je n’avais pas songé à un «effet miroir»): on y trouve deux photos, l’une de l’inconnue et l’autre de sa belle-sœur qui lui a succédé dans la fonction, les deux dames apparaissant en premier plan; même chose sur les autres liens avec des photos de la première porteuse et de la porteuse actuelle, et je pourrais en mettre d’autres
      Bises

      Supprimer
    4. Vous ne mettez pas de liens. Les liens ne fonctionnent pas dans la partie commentaires.

      Supprimer
  28. Fabiola reine de Belgique épouse du roi Baudoin.

    RépondreSupprimer
  29. su traje de novia encumbró a su creador y sigue figurando entre los más bellos lucidos en bodas reales

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Le createur était une sorte de «fils adoptif de cœur» de la mère de l’inconnue dont quelques années plus tard la robe à été offerte au couturier et mise en dépôt et exposition au musée implanté dans le village basque où il est né entre Bilbao et San Sebastián; voici quelques années j’ai eu la chance de pouvoir m’y rendre en visite: ce n’est pas exagérément loin de chez moi, seulement près de 200 km, et avec quelques amies nous n’avions pas résisté à la tentation; c’était somptueux et les pièces exposées étaient plus belles les unes que les autres, mais la plus belle était incontestablement la fameuse robe de mariée de l’inconnue; rien que pour cela, il valait la peine de faire 2 heures de route

      Supprimer
    2. 200 km… Vivriez vous dans la capitale béarnaise où l'un des ancêtres du mari de notre énigme vit le jour?

      Supprimer
    3. Pas mal calculé, Cécil, et la capitale béarnaise étant Pau, la patrie, entre autres, de « nouste Enric », autrement dit le bon roi Henri, celui de la poule au pot, du panache blanc, du baptême à l’ail et au Jurançon, mais aussi du maréchal Bernadotte, et autres personnages importants, il serait possible que les presque 200 km soient là; mais non: je suis voisine car si je touche à la Corse, j’habite surtout à Mont de Marsan, ville natale du père de Henrik né (de) Laborde de Montpezat, prince consort de Margrethe II de Danemark; et le kilométrage est à peu près équivalent d’une poignée de queues de cerises jusqu’au patelin où s’est créé le musée que j’évoquais
      J’espère qu’avec cela les colistiers auront compris l’indice…
      Bonne journée et à ce soir (mais je ne serai sûrement pas à l’heure)

      Supprimer
    4. En terme de kilométrage, j'avais aussi pensé à Mont de Marsan qui, comme le Béarn, appartint à Jeanne d'Albret puis à son fiston, Henri de Navarre avant que ce dernier ne devienne, en supplément (et quel supplément!), roi de France.

      Supprimer
  30. Bonsoir,

    la reine Fabiola des Belges

    RépondreSupprimer
  31. Notre inconnue portait du blanc lors des obsèques de son mari.

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. C’est elle-même qui avait veillé au moindre détail de l’organisation des cérémonies, et si elle s’était réservé le blanc, elle avait demandé aux autres personnes présentes de privilégier si possible le gris plutôt que le blanc

      Supprimer
  32. On a peut-être tendance à l’oublier en raison de la surmédiatisation de la défunte belle-mère des duc de Cambridge et de Sussex, mais dans son pays de mariage, et pour faire évoluer les mentalités, notre énigme avait été la première à poser un acte symbolique vis-à-vis des malades atteints du SIDA: dans un hôpital de sa capitale, en compagnie d’un professeur du service, elle avait visité des personnes porteuses du virus HIV. Une photo où elle étreint un patient fit bien plus que de nombreuses campagnes de publicité et/ou d’information, et changea le regard envers les malades affectés par le fléau.

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Il est sûr que le différence était abyssale entre la dame et celui de ses frères dont j’ai parlé plus haut, et qui était le scandale vivant et permanent de sa famille: les hommes de sa famille s’étaient mis d’accord pour faire savoir à tous les patrons d’hôtel et/ou de salles de jeu qu’ils refusaient d’assumer la responsabilité des dettes de l’intéressé, lequel, bien entendu, ne figurait pas sur la liste des invités au mariage de sa sœur: sujet de tous les commérages du temps!

      Supprimer
  33. Malheureusement, comme Royautés me l’a rappelé, il m’est impossible de vous mettre le lien vers ce que je suis en train de consulter: un entretien de presse d’une petite nièce de l’énigme, petite fille de sa sœur aînée, à propos non seulement de la grand-tante, mais du couturier créateur de la robe dont on aperçoit un détail sur la photo; elle y fait part de souvenirs d’enfance, entre autres alors qu’elle faisait partie des enfants d’honneur du mariage et qu’à la fin de la cérémonie il a fallu passer sous la voûte d’acier formée par les épées des officiers présents (elle dit avoir été sur le point d’en pleurer d’émotion);
    Et puis elle évoque la volonté de l’inconnue d’être accompagnée musicalement lors des funérailles à venir par des castagnettes qui lui avaient été offertes bien longtemps auparavant par leur interprète légendaire: vœu respecté par la petite nièce que nous avons tous vue ce jour-là accompagner la «Salve Rociera» qui était interprétée; bien sûr si j’avais mis cela dès hier cela aurait été censuré, mais nous sommes à très peu de temps de la solution, et vous savez forcément qui est l’inconnue, donc je pense qu’au point où nous en sommes, Royautés acceptera...

    RépondreSupprimer