Bonjour Philippe. Ce beau-frère figure-t-il dans le titre d'un livre comportant également l'identité de notre énigme ? Dans l'affirmative, cette belle-sœur était-elle l'épouse de son frère ? Merci par avance.
Le tsarévitch1 Nicolas Alexandrovitch né le 8 septembre 1843 à Saint-Pétersbourg (Empire russe) et décédé le 12 avril 1865 à Nice (France), Mais je suis loin de la certitude, salutation
Effectivement la belle-sœur de notre énigme était l’épouse de son frère. Mais je ne connais pas le livre auquel vous faites allusion. Le beau-frère de cette belle-sœur portait un titre ducal porté en son temps par une célèbre mémorialiste.
Mon identification erronée vient d'être publiée, par conséquent mes questions n'ont pas lieu d'être. Merci pour votre réponse, mais je n'ai toujours pas, malgré vos indices, découvert l'identité de notre énigme.
Si, avec l'aide de Philippe que je remercie, j'ai bien trouvé l'identité de notre inconnu, ce prince révolutionnaire souhaita pourtant épouser une reine qui était aussi une de ses cousines germaines.
Charles-Borwin de Mecklembourg-Strelitz né le 10 octobre 1888 à Neustrelitz et mort le 24 août 1908 au Ban-Saint-Martin, près de Metz, je suis loin de la certitude ,salutation
j'ai fais une proposition de réponse en rapport avec un duel et un Double Prénom mais je crois fermement que je suis dans la choucroute et avec la peine de la perte de mon Petit Toscane je crois je vais passé mon chemin pour ne pas retardé le jeux , affection sincères , salutation Karl et Pius
Très cher Karl, quelle tristesse!! rentrée chez moi à l’instant après avoir été hospitalisée aux urgences hospitalières depuis samedi matin, je tombe sur ce message de vous, le dernier listé, et n’ai pas encore lu les autres; ce que vous y dites de Toscane me peine infiniment: la mère à chat que je suis ne peut que se sentir concernée, et sachez que je prends une grande part à votre chagrin, pour avoir déjà vécu cela avec d’autres boules de poils qui toutes comptaient beaucoup pour moi comme compte Esmeralda depuis 15 ans; gardez le moral malgré tout, et que Pius soit votre consolation. Je vous embrasse
Absente de chez moi depuis samedi matin jusqu’à voici un moment, je découvre tout ce qui s’est publié entre temps; pour le personnage proposé dimanche, j’avoue mon incertitude: il me semble bien qu’il peut s’agir du deuxième fils du quatorzième et dernier enfant d’un souverain sud-européen. Si je ne suis pas dans l’erreur, son père n’accéda jamais au trône, mais fut successeur par primogéniture d’un frère aîné qui fut souverain mais n’eut que deux filles de sa quatrième épouse Cela n’était pas rédhibitoire, dans ce pays une fille ayant toujours pu recueillir et transmettre des droits dynastiques (à condition de laisser passer avant elle un frère pourtant puîné); en revanche ce qui n’était pas recevable, c’était les mariages inégaux (par les temps qui courent, les choses ont bien changé!!!) et une pragmatique sanction imposait cela (titre: «pragmatique sanction pour éviter l’abus de contracter des alliances inégales») raison pour laquelle son mariage le fit écarter de sa dynastie, et même l’empêcha d’être inhumé dans le monument traditionnel pour les obsèques de sa parenté Tout cela sous réserve d’une identification correcte de l’illustre inconnu ; par message à part je propose un nom à Royautés Cordialement
Mon identification sauf erreur : Enrique de Borbón y Borbón), né le 17 avril 1823 à Séville et mort le 12 mars 1870 à Leganés lors d’un duel au pistolet d’où sa mort sur le coul, infant d'Espagne et 1er duc de Séville, est le fils de l'infant François de Paule, le frère du roi-consort François d'Assise et le beau-frère et cousin de la reine Isabelle II. cordialement
Cher Philippe, il me semble que la «Grande» mémorialiste que vous nous proposez en indice doit bien être l’auteure de ce classique de la littérature française qui demeure un témoignage capital sur la sensibilité féminine au XVIIe siècle.? Amitiés
Daniele, je ne crois pas que nous pensions à la même personne. Le mariage de celle à laquelle je fais allusion a provoqué, en son temps, un grand émoi à la Cour. Et a donné lieu à une fameuse lettre d'une non moins fameuse épistolière.
Elle aurait pu devenir impératrice ou reine d'Angleterre, d'Écosse et d'Irlande mais la Grande Mademoiselle déclina ces brillants partis surtout séduits par son immense fortune.
Ce lien de parenté rapprochée n’était en rien exceptionnel dans une dynastie où on a plusieurs fois marié un oncle avec sa nièce (ils n’avaient vraiment pas peur d’une telle consanguinité!!!) Notre énigme avait, à quelques jours près, un an et demi de moins que son épouse; ils sont morts tous deux à 46 ans (lui, le 17 avril 1870) et 42 ans (elle, le 29 décembre 1863); le premier de leurs 5 enfants, (4 fils suivis d’une fille) portait le même prénom que lui; leur troisième fils portait le prénom du père de monsieur,et le quatrième fils se vit attribuer un titre dont il était le premier titulaire. Bonsoir à tous
Nous avons croisé au moins cinq parents de notre inconnu ces dernières semaines mais lui n'en a connu aucun car il était déjà six pieds sous terre depuis trois ans quand naquit la plus âgée de ces personnes, une petite cousine.
En examinant les énigmes de mai et juin, j'ai, finalement, dénombré sept altesses apparentées à notre énigme; avec pour ancêtre commun son bisaïeul paternel. L'inconnu portait portait, d'ailleurs, le prénom de cet ascendant, comme son père et le père de celui-ci avant lui.
J'ai réalisé avoir mal identifié notre énigme et proposé un autre nom mais la plupart de mes indices restent valables! Par contre, trois des sept parents que j'ai évoqués sont nés du vivant de notre inconnu qui, de surcroit, n'était pas prénommé comme son arrière-grand-père, de même que ses père et grand-père. Pour son prénom, je pense à un autre ancêtre placé bien plus haut dans son arbre généalogique.
Pala si Merveilleuse, Bonjour à vous, si je ne suis pas trop dans ma choucroute habituel, un duel lui aura été fatal , car il voulait défendre l'honneur de sa sœur, donc il serait mort à 19 ans ,son beau frère entretenait une relation avec une Infante Espagnol, mon indice est a prendre seulement si j'ai bien saisi les Précieux indices de Nos Amies ,Merci de votre beau message Danièle ,B, salutation
toute ma symtpthie à Karl en ces moments doulureux et bon retablissement à Daniele j arrete de chercher , malgre les nombreux indices je ne trouve rien
Si je l'ai bien identifié, il a reconnu 12 enfants : certains doutes subsistent sur le fait qu'il soit le géniteur de la totalité de la progéniture issue de son épouse durant leur union. Au sein de la fratrie : l'aîné et le cadet : mort-nés, la N°3 a porté le titre actuellement dévolue à une adorable princesse de 18 ans. N°4 : DCD 2 jours après sa naissance, N°5 et N°6 : mort-nés. N°7 : futur roi, N°8 : DCD à moins de 2 ans, N°9 : DCD à 18 ans. N°10, épouse un prince de Bavière, mère de 3 enfants N°11, conjointe du frère de la 1ère épouse du N°7, mère de 2 garçons. N°12, benjamin de la fratrie : DCD à 3 semaines d'existence.
Du moins c’est son épouse qui a eu 5 enfants, car elle seule pouvait affirmer quelque chose; Dans ce domaine rappelez vous ce qu’on dit souvent: «Maman, toujours; Papa, quelque fois»!... ou, de façon plus administrative: «l’enfant conçu pendant la durée du mariage est présumé du mari»
Ce que j'ai pu lire ici et là démontre que mon identification précédente est erronée. Notre inconnu est plus probablement Don Enrique de Borbón y Borbón-Dos Sicilias , infant d'Espagne, duc de Séville (1823-1870)
A tout hasard :
RépondreSupprimerAlphonse XII d'Espagne (1857-1895)
Alfonso XII, rey de España (28.11.1857-25.11.1885)
RépondreSupprimerEnrique de Borbón (1823-1870), infante de España, I duque de Sevilla, muerto en duelo con el duque de Montpensier.
RépondreSupprimerEnrique de Borbón, Infant d'Espagne, 1er duc de Séville (1823-1870)
RépondreSupprimerNotre Illustre Inconnu aurait dû se méfier du beau-frère de sa belle-soeur
RépondreSupprimerPeut-être un autre indice, cher Philippe ? Merci ! 😉
SupprimerBonjour Philippe.
SupprimerCe beau-frère figure-t-il dans le titre d'un livre comportant également l'identité de notre énigme ?
Dans l'affirmative, cette belle-sœur était-elle l'épouse de son frère ?
Merci par avance.
Je pense qu'avec votre indice de 11h28, ma proposition de ce jour était erronée, cependant, comme elle n'a pas été publiée, je ne comprends plus.
SupprimerLe tsarévitch1 Nicolas Alexandrovitch né le 8 septembre 1843 à Saint-Pétersbourg (Empire russe) et décédé le 12 avril 1865 à Nice (France), Mais je suis loin de la certitude, salutation
RépondreSupprimerJe pense qu'il est né à Séville
RépondreSupprimerLe roi Ferdinando II des Deux-Siciles (1810-1859)
RépondreSupprimerMerci à Philippe Goulliaud pour son indice qui me guide vers :
RépondreSupprimerHenri de Bourbon (1823-1870), beau-frère de Isabelle II d'Espagne
D. Luis I, rei de Portugal (31.10.1838-19.10.1889)
RépondreSupprimerAlbert Ier de Monaco.
RépondreSupprimerPremier du nom de sa dynastie, un de ses descendants porte aujourd' hui son prenom.
RépondreSupprimerNotre Illustre Inconnu a passé une grande partie de sa vie en exil. Peut-être aurait-il mieux fait de ne pas rentrer dans son pays.
RépondreSupprimerJe pensais qu il était né à Séville
RépondreSupprimerest-il possible qu'il soit mort en duel?
RépondreSupprimerSi c’était bien le cas le duel n’était pas à l’arme blanche mais à l’arme à feu
SupprimerOui Pierre-Yves ...
SupprimerEffectivement la belle-sœur de notre énigme était l’épouse de son frère. Mais je ne connais pas le livre auquel vous faites allusion.
RépondreSupprimerLe beau-frère de cette belle-sœur portait un titre ducal porté en son temps par une célèbre mémorialiste.
Mon identification erronée vient d'être publiée, par conséquent mes questions n'ont pas lieu d'être.
SupprimerMerci pour votre réponse, mais je n'ai toujours pas, malgré vos indices, découvert l'identité de notre énigme.
L'Infant Don Enrique de Borbón y Borbón, duc de Séville (1823-1870)
RépondreSupprimerSi, avec l'aide de Philippe que je remercie, j'ai bien trouvé l'identité de notre inconnu, ce prince révolutionnaire souhaita pourtant épouser une reine qui était aussi une de ses cousines germaines.
RépondreSupprimerBonjour sir Jérôme.
SupprimerA ce stade du jeu, pouvez-vous me préciser de quelle pays était-elle reine ?
Merci par avance.
Claro que si Doña Pala ... Viva España !
SupprimerCharles-Borwin de Mecklembourg-Strelitz né le 10 octobre 1888 à Neustrelitz et mort le 24 août 1908 au Ban-Saint-Martin, près de Metz, je suis loin de la certitude ,salutation
RépondreSupprimerj'ai fais une proposition de réponse en rapport avec un duel et un Double Prénom mais je crois fermement que je suis dans la choucroute et avec la peine de la perte de mon Petit Toscane je crois je vais passé mon chemin pour ne pas retardé le jeux , affection sincères , salutation Karl et Pius
RépondreSupprimerTrès cher Karl, quelle tristesse!! rentrée chez moi à l’instant après avoir été hospitalisée aux urgences hospitalières depuis samedi matin, je tombe sur ce message de vous, le dernier listé, et n’ai pas encore lu les autres; ce que vous y dites de Toscane me peine infiniment: la mère à chat que je suis ne peut que se sentir concernée, et sachez que je prends une grande part à votre chagrin, pour avoir déjà vécu cela avec d’autres boules de poils qui toutes comptaient beaucoup pour moi comme compte Esmeralda depuis 15 ans; gardez le moral malgré tout, et que Pius soit votre consolation. Je vous embrasse
SupprimerAbsente de chez moi depuis samedi matin jusqu’à voici un moment, je découvre tout ce qui s’est publié entre temps; pour le personnage proposé dimanche, j’avoue mon incertitude: il me semble bien qu’il peut s’agir du deuxième fils du quatorzième et dernier enfant d’un souverain sud-européen. Si je ne suis pas dans l’erreur, son père n’accéda jamais au trône, mais fut successeur par primogéniture d’un frère aîné qui fut souverain mais n’eut que deux filles de sa quatrième épouse
SupprimerCela n’était pas rédhibitoire, dans ce pays une fille ayant toujours pu recueillir et transmettre des droits dynastiques (à condition de laisser passer avant elle un frère pourtant puîné); en revanche ce qui n’était pas recevable, c’était les mariages inégaux (par les temps qui courent, les choses ont bien changé!!!) et une pragmatique sanction imposait cela (titre: «pragmatique sanction pour éviter l’abus de contracter des alliances inégales») raison pour laquelle son mariage le fit écarter de sa dynastie, et même l’empêcha d’être inhumé dans le monument traditionnel pour les obsèques de sa parenté
Tout cela sous réserve d’une identification correcte de l’illustre inconnu ; par message à part je propose un nom à Royautés
Cordialement
Mon identification sauf erreur : Enrique de Borbón y Borbón), né le 17 avril 1823 à Séville et mort le 12 mars 1870 à Leganés lors d’un duel au pistolet d’où sa mort sur le coul, infant d'Espagne et 1er duc de Séville, est le fils de l'infant François de Paule, le frère du roi-consort François d'Assise et le beau-frère et cousin de la reine Isabelle II.
Supprimercordialement
Don Carlos de Borbón y de Braganza, infant d'Espagne (1818-1861)
RépondreSupprimerLe titre ducal de cette Grande mémorialiste est aujourd'hui porté par la mère d'un prétendant au trône.
RépondreSupprimerCher Philippe, il me semble que la «Grande» mémorialiste que vous nous proposez en indice doit bien être l’auteure de ce classique de la littérature française qui demeure un témoignage capital sur la sensibilité féminine au XVIIe siècle.?
SupprimerAmitiés
Daniele, je ne crois pas que nous pensions à la même personne. Le mariage de celle à laquelle je fais allusion a provoqué, en son temps, un grand émoi à la Cour. Et a donné lieu à une fameuse lettre d'une non moins fameuse épistolière.
SupprimerElle aurait pu devenir impératrice ou reine d'Angleterre, d'Écosse et d'Irlande mais la Grande Mademoiselle déclina ces brillants partis surtout séduits par son immense fortune.
SupprimerLe lien de parenté entre le père et la mère de notre inconnu fait que cette dernière est aussi sa cousine germaine !
RépondreSupprimerCe lien de parenté rapprochée n’était en rien exceptionnel dans une dynastie où on a plusieurs fois marié un oncle avec sa nièce (ils n’avaient vraiment pas peur d’une telle consanguinité!!!)
SupprimerNotre énigme avait, à quelques jours près, un an et demi de moins que son épouse; ils sont morts tous deux à 46 ans (lui, le 17 avril 1870) et 42 ans (elle, le 29 décembre 1863); le premier de leurs 5 enfants, (4 fils suivis d’une fille) portait le même prénom que lui; leur troisième fils portait le prénom du père de monsieur,et le quatrième fils se vit attribuer un titre dont il était le premier titulaire. Bonsoir à tous
Il est né à Séville
RépondreSupprimerIl est né à Séville
RépondreSupprimerNous avons croisé au moins cinq parents de notre inconnu ces dernières semaines mais lui n'en a connu aucun car il était déjà six pieds sous terre depuis trois ans quand naquit la plus âgée de ces personnes, une petite cousine.
RépondreSupprimerEn examinant les énigmes de mai et juin, j'ai, finalement, dénombré sept altesses apparentées à notre énigme; avec pour ancêtre commun son bisaïeul paternel. L'inconnu portait portait, d'ailleurs, le prénom de cet ascendant, comme son père et le père de celui-ci avant lui.
SupprimerJ'ai réalisé avoir mal identifié notre énigme et proposé un autre nom mais la plupart de mes indices restent valables!
SupprimerPar contre, trois des sept parents que j'ai évoqués sont nés du vivant de notre inconnu qui, de surcroit, n'était pas prénommé comme son arrière-grand-père, de même que ses père et grand-père. Pour son prénom, je pense à un autre ancêtre placé bien plus haut dans son arbre généalogique.
Pala si Merveilleuse, Bonjour à vous, si je ne suis pas trop dans ma choucroute habituel, un duel lui aura été fatal , car il voulait défendre l'honneur de sa sœur, donc il serait mort à 19 ans ,son beau frère entretenait une relation avec une Infante Espagnol, mon indice est a prendre seulement si j'ai bien saisi les Précieux indices de Nos Amies ,Merci de votre beau message Danièle ,B, salutation
RépondreSupprimerAucun de mes messages ne s affiche
RépondreSupprimerA la fin du jeu, vous donnez des indices trop faciles.
SupprimerMerci royauté...je n'avais pas pensé que mon indice était facile...
Supprimertoute ma symtpthie à Karl en ces moments doulureux et bon retablissement à Daniele
RépondreSupprimerj arrete de chercher , malgre les nombreux indices je ne trouve rien
SAR l'infant d'Espagne Henri de Bourbon et Bourbon Deux Siciles 1er duc de Séville
RépondreSupprimerFrancisco de Asis de Borbón, infante de España, 3. duque de Cádis (13.05.1822-13.04.1902)
RépondreSupprimerSi je l'ai bien identifié, il a reconnu 12 enfants : certains doutes subsistent sur le fait qu'il soit le géniteur de la totalité de la progéniture issue de son épouse durant leur union.
RépondreSupprimerAu sein de la fratrie :
l'aîné et le cadet : mort-nés, la N°3 a porté le titre actuellement dévolue à une adorable princesse de 18 ans.
N°4 : DCD 2 jours après sa naissance, N°5 et N°6 : mort-nés.
N°7 : futur roi, N°8 : DCD à moins de 2 ans, N°9 : DCD à 18 ans.
N°10, épouse un prince de Bavière, mère de 3 enfants
N°11, conjointe du frère de la 1ère épouse du N°7, mère de 2 garçons.
N°12, benjamin de la fratrie : DCD à 3 semaines d'existence.
Bonjour Doña Pala, si ce n'est lui ...
SupprimerDonc, mon indice ne concerne pas notre énigme mais son frère.
SupprimerNotre duc a eu 5 enfants.
Henri de Bourbon (1823-1870)
RépondreSupprimerEnríque María de Borbón, infante de España, 1. duque de Sevilla (17.04.1823-12.03.1870)
RépondreSupprimerJe pense qu il a eu 5 enfants
RépondreSupprimerDu moins c’est son épouse qui a eu 5 enfants, car elle seule pouvait affirmer quelque chose; Dans ce domaine rappelez vous ce qu’on dit souvent: «Maman, toujours; Papa, quelque fois»!... ou, de façon plus administrative: «l’enfant conçu pendant la durée du mariage est présumé du mari»
SupprimerHenri de Bourbon
RépondreSupprimerCe que j'ai pu lire ici et là démontre que mon identification précédente est erronée. Notre inconnu est plus probablement Don Enrique de Borbón y Borbón-Dos Sicilias , infant d'Espagne, duc de Séville (1823-1870)
RépondreSupprimerSAR Enrique de Bourbon. Duc de Séville (1823-1870)
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