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vendredi 28 juin 2024

Qui étaient-ils ?


 

21 commentaires:

  1. Le jeune homme qui fait face à sa mère, pour moi est le petit-fils d’un souverain de son pays (je ne précise par l’origine de sa mère…); Passé la trentaine, il fit un mariage morganatique 2 mois après avoir renoncé à ses droits dynastiques; 3 ans après leur mariage, ils divorcent, après avoir eu une fille puis un fils (si je ne me suis pas trompée, évidemment)

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    1. Le 2 a été marié 13 ans, pas 3 ans ! 🙄

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    2. Une nouvelle faute de frappe et/ou d’inattention! Au temps pour moi! Par chance vous m’avez corrigée, merci à vous, et bon week-end.

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  2. Si la 1 convola en France, c'est outre-Atlantique que le 2 se maria.

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  3. Sauf si j’ai pédalé dans la semoule en proposant mon identification de ceux qui sont pour moi une mère et son fils, je crois pouvoir dire que la dame de la photo est devenue mère de 4 fils suivis d’une seule fille, laquelle fit comme le numéro 2 de ses frères un mariage égal alors que ses 3 autres frères dont celui de la photo ont fait des mariages morganatiques, ce qui valut à tous les 3 de se voir «rétrogradés» et de n’être plus connus que sous un titre comtal: en quelque sorte un «titre de consolation».
    Amitiés

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  4. Philippe Goulliaud28 juin 2024 à 16:18

    Notre Illustre Inconnue, qui porte ici une parure d'opales, était une forte personnalité. Elle sut se faire apprécier dans le pays de son mari. On dit qu'elle se lia d'amitiés avec le roi du Siam et qu'elle était pompier volontaire.

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    1. Un retour arrière sur la précédente énigme, celle de l’infant Enrique : je n’avais pu lire en temps voulu tous les messages que cela avait généré, mais j’avais eu un petit échange avec l’ami Philippe ce mercredi 26 à partir de 11 heures 44, 14 heures11, et 18 heures 40 ; je continue à m’interroger sur l’identité de cette fameuse duchesse, auteure et mémorialiste dont le titre est aujourd’hui celui de la mère d’un prétendant au trône; il semble que nous n’ayons pas pensé à la même personne, et d’ailleurs la réplique de Jérôme le lendemain à 10heures04 me semblait abonder dans ce sens; mais non, d’après vous ce n’était pas cela; alors par curiosité, à qui pensiez vous???
      De mon côté j’avais misé sur la duchesse de Montpensier : Anne-Marie-Louise d’Orléans, 1627/1693, dite «la Grande Mademoiselle», auteure de mémoires ; son mariage avec Antonin Nompar de Caumont, premier duc de Lauzun avait plus qu’agité les esprits du temps, et fut à l’origine d’une lettre de madame de Sévigné à Mr de Coulanges en 1670 que nous avons plus ou moins tus étudiée durant notre scolarité; Par ailleurs le titre actuel de duchesse de Montpensier est bien celui de la mère de l’actuel Jean Comte de Paris prétendant au trône de France ; Alors je vous confesse ma panade intégrale, donc si ce n’est trop vous demander pourriez-vous m’éclaircir tout cela, s’il vous plaît? Amicalement et merci mille fois

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    2. Philippe GOULLIAUD29 juin 2024 à 12:12

      Oui il s’agit bien de la Grande Mademoiselle, petite-fille d’Henri IV, duchesse de Montpensier. Le titre fut porté par le duc de Montpensier qui tua en duel le duc de Séville, notre précédente énigme. Il l’est aujourd’hui par Marie-Therese de Wurtemberg, mère du comte de Paris.

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  5. La 1 était apparentée à notre énigme précédente (une bisaïeule de madame étant sœur d'un grand-père de monsieur), ainsi qu'aux sept autres évoquées, par bibi, dans le dernier jeu avec, encore une fois, le même ascendant commun.
    Le garçon n°2 était le troisième fils de la 1 et avait été nommé comme plusieurs rois de son pays, le plus récent ayant vécu jusqu'au XVème siècle. Son prénom n'avait presque plus été utilisé depuis lors.

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    1. Lady cecil, pouvez-vous apporter des précisions sur la transmission du titre de duc de Séville octroyé à Enrique de Borbón (énigme précédente) ?
      Enrique Pio de Borbón y Castellvi (1848-1894), fils aîné du précédent, 2ème duc de Seville.
      Maria Luisa de Borbón y Parade (1868-1945), fille aînée d'Enrique Pio, 3ème duchesse de Séville, sans postérité.
      Enriqueta de Borbón y Parade (1888-1967), sœur de la précédente, 4ème duchesse de Séville épouse Francisco de Paula de Borbón y de la Torre (1882-1952), petit-fils du 1er duc de Séville.
      Comment se fait-il que le 5ème duc de Séville depuis 1974, soit Francisco de Borbón y Escasany (né en 1943), avant sa tante Isabel de Borbón y Borbón (1908-1974) et son père Enrique de Borbón y Borbón (1912-1995) ?
      Je suppose qu'au décès de son père Olivia de Borbón y Hardenberg sera la 6ème duchesse de Séville.

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    2. Je ne sais, Doña Pala, si je suis bien placée pour vous répondre mais je vais faire de mon mieux.
      Pas de problème concernant les quatre premiers ducs de Séville :
      - Le N°2 était l'ainé du N°1.
      - Le 2 n'a eu que des filles, donc l'ainée, Maria Luisa, a été la troisième porteuse du titre puis, n'ayant pas d'enfant, l'a transmis à sa sœur, Enriqueta.
      - Enriqueta, duchesse N°4, a épousé son cousin germain, Francisco de Paula(1882-1952), lui même fils de Francisco de Paula (1853-1942) et frère cadet du duc N°2. Ils ont eu trois enfants : Isabel (1908-1974), Enrique (1909-1915) et Francisco de Paula (1912-1995).
      - A la mort d'Enriqueta, son héritier était le dernier de ses enfants, Francisco, puisqu'à l'époque la transmission des titres nobiliaires se faisait selon le principe de "Primogéniture cognatique avec préférence masculine ou semi-cognatique", autrement dit les garçons héritent en priorité, même s'ils ne sont pas les aînés de la fratrie, les filles héritant seulement s'il n'y a plus/pas d'héritier masculin. Par ex : L'ordre de règne des trois enfants du roi Henry VIII d'Angleterre, avec son fils Edward VI en premier, bien que benjamin des trois puis ses deux filles Mary et Elizabeth, ou encore la précédente duchesse d'Albe, Cayetana, qui n'avait pas de frère. Idem pour la reine Elizabeth II ou les grandes-duchesses de Luxembourg, Marie-Adélaïde et Charlotte)
      Pour en revenir au duché de Séville, Francisco a choisi de passer son tour et de laisser le titre à l'ainé de ses trois fils, prénommé comme lui, Francisco de Paula (né en 1943) devenu, donc, le duc N°5.
      - En 2006, l'Espagne a modifié la loi sur la succession des titres nobiliaires et adopté, en la matière, la "Primogéniture cognatique ou absolue" où l'ainé d'une fratrie hérite quel que soit son sexe. En revanche, cette loi ne s'applique pas à l'ordre de succession de la maison royale. Si, dans le futur, Felipe VI avait un fils, celui-ci piquerait le titre de prince des Asturies et de premier héritier à sa sœur Leonor, qui serait alors rétrogradée à la deuxième place !
      Dans le cas qui nous occupe, l'ainé du cinquième et actuel duc de Séville est une fille, Olivia (née en 1974), laquelle a également une fille comme premier enfant, Flavia Porras y de Borbón (née en décembre 2016). Elles devraient être les six et septième duc(hesse)s de Séville et, avec la plus jeune, faire passer le titre à une autre dynastie.
      J'espère n'avoir pas fait d'erreur et que ma réponse pourra vous éclairer. Hasta la vista, Doña Pala (Je n'allais quand même pas vous donner du "Baby" !).

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    3. Muchas gracias, lady cecil.
      Hors sujet : je ne vivrai sans doute pas assez longtemps pour voir l'accession au trône de Leonor : cette jeune fille pétrie de qualités est et sera extrêmement bien préparée pour ces futures fonctions.

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  6. L’unique sœur de l’inconnu 2 n’avait elle-même («contre» trois fils) qu’une seule fille, qui fut reine «de jure» et mourut à près d’un an et demi avant son époux; tous deux étaient alors nonagénaires et laissaient 5 orphelines

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  7. La mère N°1 et le fils N°2 pratiquaient des religions différentes mais la fille de la 1 pratiquait la religion de sa mère et l’a donnée à ses propres enfants, dont l’unique fille qui éleva ses propres filles dans une troisième religion: celle de leur père. Bonsoir

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  8. Le N°2 et son épouse se sont séparés 10 ans après leur mariage, le divorce est intervenu 3 ans après.
    C'est la 1ère fois, dans la descendance de Louis Philippe I, qu'un petit garçon né en 2016 porte le prénom de l'époux de la N°1.

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    1. Cette fois, je ne suis pas d'accord avec vous, Doña Pala, à propos de la deuxième partie de votre commentaire puisque trois autres descendants du roi des Français ont été nommés ainsi avant 2016 (1915, 1965 et 2014). Ce sont tous aussi des descendants de la 1 et de son époux, à savoir le fils de leur premier fils, un petit-fils du 2 et un arrière-petit-fils du deuxième fils de la 1.
      En revanche c'est bien, comme vous le dites, la première fois qu'un enfant descendant de Louis-Philippe MAIS PAS du mari de la 1 reçoit le prénom de celui-ci. La raison en est assez simple : La 1 était la tante du bisaïeul de ce petit garçon et les liens entre les deux familles se sont toujours maintenus. Deux petit-fils de la 1 étaient parrains d'un enfant de l'autre famille (le père de l'enfant concerné, né en 1976 et sa sœur née en 1979) .Le prénom du père du nouveau-né de 2016 est, en soi, évocateur de cet état de choses. C'est celui du fils cadet de la 1 et ainé du 2.

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    2. Il est exact, Lady cecil, que j'aurais du préciser versant lignage exclusif de la N°1.

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    3. Retour sur ces deux messages précédents et les réflexions qu’ils entraînent autour de la succession encore à venir pour le futur «après-Felipe_VI» ; on pourrait même évoquer l’«après-Juan-Carlos primero» puisque c’est à lui (et aux «padres de la Constitución») que l’Espagne doit d’avoir opéré sa transition entre le régime précédent et son accession à un régime constitutionnel et démocratique. Le 6 décembre 1978 les Espagnols se sont massivement prononcés par référendum en faveur de la Constitution qui les régit actuellement;
      Pour ceux qui lisent le Castillan, au lien: https://www.boe.es/buscar/pdf/1978/boe-a-1978-31229-consolidado.pdf se trouve le texte intégral, mais comme c’est un peu long à lire je résume:
      Par le chapitre deux, article 14, du TITRE 1 («des droits et devoirs fondamentaux») il est précisé ceci :
      «Los españoles son iguales ante la ley, sin que pueda prevalecer discriminación alguna por razón de nacimiento, raza, sexo, religión, opinión o cualquier otra condición o circunstancia personal o social»
      en toute logique il ne doit donc y avoir de préférence pour un sexe sur l’autre; c’est d’ailleurs ce qui s’est décidé maintenant dans les pays qui ont conservé un système monarchique, et également dans plusieurs familles ex-régnantes
      Mais c’est là que le bât blesse, puisque cette même Constitution, où dans le TITRE 2 («de la corona»), l’article 57, alinea un dit: «La Corona de España es hereditaria en los sucesores de S. M. Don Juan Carlos I de Borbón, legítimo heredero de la dinastía histórica. La sucesión en el trono seguirá el orden regular de primogenitura y representación, siendo preferida siempre la línea anterior a las posteriores; en la misma línea, el grado más próximo al más remoto;, y en el mismo sexo, la persona de más edad a la de menos».
      Le «en el mismo grado, el varón a la mujer» fait apparaître la Constitution comme contraire à elle-même; et peu après sa promulgation des voix ont commencé à s’élever contre Felipe, réclamant la non discrimination d’Elena et de sa sœur, ce qui arriverait inévitablement à Leonor dans de cas de figure que vous soulevez (et c’est bien ce qui s’est produit lorsque le posthume Alfonso XIII a piqué la place à ses sœurs (voir nos 2 précédentes énigmes), mais on ne connaissait pas encore la constitution de 1978). «Machismo» quand tu nous tiens!!!

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    4. Lady cecil, parfois je désespère ...

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    5. Je n'ai nullement besoin d'un commentaire orienté et subjectif de la part d'une personne qui a été irrespectueuse à l'endroit de la reine d'Espagne sur ce blog.
      En aucun cas , il n'est admissible de porter atteinte à la personnalité de quiconque que nous ne connaissons pas, la décence et le respect, cela vous parle ?

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  9. Philippe Goulliaud nous donne en indice la Parure d'opales avec mes petite recherches le Diadémé aurais été modifié et le collier appartiendrait aujourd'hui a une Princesse de France, l'illustre Monsieur (2) a épousé son épouse à Ottawa Canada, Je ne parlerai point de l'époux de l'Illustre Dame (1), Salutation

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