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vendredi 1 octobre 2021
Le grand-duc Georges Michaëlovitch de Russie
Unique enfant de la grande-duchesse Maria Vladimirovna et du prince Franz Wilhelm de Prusse, il a épousé religieusement le 1er octobre 2021 Rebecca Virginia Bettarini.
Photo prise chez son grand-père maternel, lequel avait pour aïeul maternel, un cousin issu de germain de la princesse du jeu précédent. Les ascendants paternels de notre énigme sont aussi apparentés à cette dame.
Et cette photo prise chez le grand père (aujourd’hui décédé) du garçonnet (aujourd’hui quadragénaire) a peut-être été prise quelque part en Bretagne, plus précisément dans une commune d’Ille-et-Vilaine, ou alors je me suis trompée et donnant mon identification de l’enfant…
Toujours à propos de l’enfant de la photo : j’ai la faiblesse de croire que j’ai tout bon car notre Boss n’a pas passé mon message, mis hier juste après la publication du cliché, alors qu’une identification erronée est publiée tout de suite (…afin que nul n’en ignore, sans doute, et pour ne pas induire en erreur la communauté…) ; pourtant cette fois il n’y a pas en ligne pléthore de photos de ce petit personnage ; mais le gamin présentait des traits qui appelaient déjà ceux qu’on lui retrouve aujourd’hui, et qui annonçaient ceux de sa mère… et pas seulement par leur commune obésité, proche aussi du tour de taille du père du monsieur, et qui menace déjà de devenir celui de la nouvelle venue dans la famille
Daniele, Dans le jeu précédent, vous présentez Le roi Georg V de Hanovre, père de la princesse Friederike comme un fils unique. Il aurait été juste de préciser que cette unicité était réduite au couple parental, car, du coté maternel, il avait six demi-frères et sœurs (sans compter trois autres, morts peu après leurs naissance). Les deux premiers étaient nés de l'union de sa mère, la duchesse Friederike de Mecklenburg-Strelitz avec le prince Ludwig de Prusse, et les quatre autres de son deuxième mariage avec le prince Friedrich Wilhelm zu Solms-Braunfels. Georg de Hanovre était le seul enfant(vivant) qu'elle eut de son troisième et dernier mariage.
Au temps pour moi, Cecil, j’avoue humblement avoir péché par paresse: non seulement j’étais déjà affolée par l’accumulation des Friederike présentes dans la parentèle de la dame, mais de plus je me sentais dans le pastaga à l’idée de recenser la demi-fratrie de son père ; c’était plus simple de ne rappeler que sa sœur mort-née, seule enfant à part lui née de ses parents ensemble. Par chance vous êtes là pour me rappeler à l’ordre et apporter à nos colistiers l’information qui compense ma carence! Bon week-end
Je me permet une petite question car ne suis pas certain si j'ai la bonne identification, es ce que les parents de notre Illustre Monsieur porte des prénoms composé, et ses parents serait divorcés? Merci de votre précieuse aide, salutation
Les parents divorcés, oui, après près de 9 ans de mariage. Pour les prénoms de ses parents, oui pour son père qui après le divorce a repris son double prénom de naissance ; pour la mère, je dirais non : elle a un prénom unique, mais on peut s’orienter malgré tout dans la direction que vous dites, car dans le pays d’origine de la famille maternelle de l’inconnu il est d’usage de faire suivre votre prénom de celui de votre père, assorti d’une désinence qui vous situe comme «fils de» ou «fille de»… dans pas mal de nations on trouve ce rappel de filiation ; pensez au «Fitz+prénom» dans certains comtés britanniques, aux Irlandais dont beaucoup s’appellent «O’+ quelque chose», aux Arabes avec leur «Bin» (fils de) ou «Bint» (fille de) ; en Péninsule Ibérique aussi, il y a tous les Álvarez, Martínez, Rodríguez, Sánchez, et autres qui nous renvoient des siècles en arrière, quand ne s’était pas établi le principe du patronyme et qu’on se désignait comme «enfant de» Álvaro, Martín, Rodrigo, Sancho etc… (au Portugal, même principe qu’en Espagne, mais le suffixe est «es» au lieu de «ez» ; aujourd’hui ces « collages » sont devenus des noms à part entière, mais c’est bien le même principe qui se perpétue chez l’enfant de la photo, et s’il a des enfants un jour, cela se produira aussi (pour Jo L –post de 11heures 43-, non, il n’est pas encore père de famille, ou alors ça se saurait, mais comme il est marié de fraîche date, espérons pour lui qu’il le sera bientôt)
Dans la culture de la mère de notre énigme, la dénomination des personnes comporte trois éléments: le prénom, le patronyme (ou plus rarement, matronyme) et le nom de famille. Sans le désigner ainsi, vous expliquez bien ce qu'est, ici, l'élément intermédiaire, le patronyme. En occident, le terme de patronyme se confonds (et remplace) le nom de famille mais en Europe orientale, les deux vont de pair puisque le patronyme marque uniquement la filiation (fils ou fille de) et change à chaque génération tandis que le nom de famille reste identique et a la même valeur que chez nous. Quel que soit la région d'Europe, en aucun cas le patronyme ne peut être considéré comme un deuxième prénom. Je mentionne le cas particulier de l'Islande, pays où le nom de famille est un patronyme qui change à chaque génération; A tel point que, dans l'annuaire, les gens sont répertoriés par leur prénom. Cela fait longtemps que les autres pays scandinave ont abandonné ce système et on fixé, comme en France ou en Espagne, les noms de famille une bonne fois pour toutes. On peut s'appeler Johannsen (littéralement "fils de Johann") sans que son père se prénomme Johann et en étant de sexe féminin. Chez les islandais, on sera Jónsson ou Jónsdóttir selon son sexe et cela tiendra lieu de nom de famille. Un autre cas particulier, qui nous ramène à notre inconnu, est celui des personnes qui se convertissent à la religion orthodoxe. Elles prennent alors un autre prénom que le leur et un patronyme qui, sans rapport avec leur filiation biologique, honore un saint de l'église orthodoxe. Par exemple, Alexandra Feodorovna pour Alix de Hesse (dont le père, luthérien, s'appelait Ludwig). Le père de notre énigme a dû en passer par là et le patronyme que porte le bambin, a été formé sur le prénom qu'il a reçu lors de son baptême dans sa nouvelle foi. Après son divorce, il est revenu à sa religion d'origine.
Notre Illustre Monsieur descend de 2 Empereurs, de 2 pays différents et d'une Grande Reine ,merci (Daniele,B)pour votre indice de tour de taille salutation
Oui Danièle ...le tour de taille , encore que sa mère fut une très belle mariée et son grand père"breton" un bel homme. Bonne journée , nous c'est tempête aujourd'hui
C’est vrai que, jeune, elle était fort belle, son mari aussi, mais voilà, ils se sont laissé aller, et plus encore après leur séparation : dommage, car ils furent un beau couple ; quant à leur petit, il a commencé à leur emboîter le pas, beaucoup trop tôt pour ce puisse être rattrappable ; mais au fond, peut-être y a-t-il un facteur génétique car même au temps de la photo il présentait de petites rondeurs qui déjà posaient question
il s'agit du grand duc Gueorgui Mikhaïlovitch de Russie ,il est l'un des prétendants au trône Romanov par sa mère, il est également prince de Hohenzollern par son père p
George Mikhailovich Romanoff, grand-duc de Russie, prince de Prusse, né le 13 mars 1981 à Madrid.
RépondreSupprimerCet enfant a célébré son 40ème anniversaire cette année. C'est aussi un jeune marié.
RépondreSupprimerExtrait d'une photo probablement prise à la fin des années 1980 sur laquelle figure aussi le grand-père maternel de cet enfant.
RépondreSupprimerle jeune marié de la semaine: Georges Romanov
RépondreSupprimerLe grand duc Georges de Russie qui s'est marié aujourd'hui.
RépondreSupprimerLe grand - duc Georges de Russie , qui vient de se marier à Saint-Petersbourg .
RépondreSupprimerIl a quand même un peu changé depuis ce cliché . . .Aujourd'hui est un jour très heureux pour lui !
RépondreSupprimerUn essai :
RépondreSupprimerGeorges Mikhaïlovitch de Russie
(1981-) ?
Georgi Mikhaïlovitch Romanov, grand-duc de Russie pour les uns, et a minima, prince de Prusse.
RépondreSupprimerGeorges Romanov né le 13 mars 1981, grand duc de Russie
RépondreSupprimerPhoto prise chez son grand-père maternel, lequel avait pour aïeul maternel, un cousin issu de germain de la princesse du jeu précédent. Les ascendants paternels de notre énigme sont aussi apparentés à cette dame.
RépondreSupprimerEt cette photo prise chez le grand père (aujourd’hui décédé) du garçonnet (aujourd’hui quadragénaire) a peut-être été prise quelque part en Bretagne, plus précisément dans une commune d’Ille-et-Vilaine, ou alors je me suis trompée et donnant mon identification de l’enfant…
SupprimerToujours à propos de l’enfant de la photo : j’ai la faiblesse de croire que j’ai tout bon car notre Boss n’a pas passé mon message, mis hier juste après la publication du cliché, alors qu’une identification erronée est publiée tout de suite (…afin que nul n’en ignore, sans doute, et pour ne pas induire en erreur la communauté…) ; pourtant cette fois il n’y a pas en ligne pléthore de photos de ce petit personnage ; mais le gamin présentait des traits qui appelaient déjà ceux qu’on lui retrouve aujourd’hui, et qui annonçaient ceux de sa mère… et pas seulement par leur commune obésité, proche aussi du tour de taille du père du monsieur, et qui menace déjà de devenir celui de la nouvelle venue dans la famille
SupprimerMDR Danièle B M erci pour cet indice très parlant et surtout très drôle !
SupprimerLe grand duc Georges Mikailovich Romanov .
RépondreSupprimerDaniele,
RépondreSupprimerDans le jeu précédent, vous présentez Le roi Georg V de Hanovre, père de la princesse Friederike comme un fils unique. Il aurait été juste de préciser que cette unicité était réduite au couple parental, car, du coté maternel, il avait six demi-frères et sœurs (sans compter trois autres, morts peu après leurs naissance). Les deux premiers étaient nés de l'union de sa mère, la duchesse Friederike de Mecklenburg-Strelitz avec le prince Ludwig de Prusse, et les quatre autres de son deuxième mariage avec le prince Friedrich Wilhelm zu Solms-Braunfels. Georg de Hanovre était le seul enfant(vivant) qu'elle eut de son troisième et dernier mariage.
Au temps pour moi, Cecil, j’avoue humblement avoir péché par paresse: non seulement j’étais déjà affolée par l’accumulation des Friederike présentes dans la parentèle de la dame, mais de plus je me sentais dans le pastaga à l’idée de recenser la demi-fratrie de son père ; c’était plus simple de ne rappeler que sa sœur mort-née, seule enfant à part lui née de ses parents ensemble.
SupprimerPar chance vous êtes là pour me rappeler à l’ordre et apporter à nos colistiers l’information qui compense ma carence!
Bon week-end
Le Grand-Duc Georges de Russie
RépondreSupprimerSAIR le grand duc Georges Mihailovitch de Russie prince de Prusse
RépondreSupprimerGeorge, grand-prince de Russie né le 13/03/1981
RépondreSupprimerSa grand-mère paternelle était la fille de la seconde épouse d'un roi et empereur.
RépondreSupprimerS.A.I. le grand-duc Georges Mikhaïlovitch de Russie
RépondreSupprimerEst ce que ce petit garçon est aujourd'hui papa de trois enfants ?? Merci
RépondreSupprimerIl n'a pas d'enfant, à ma connaissance mais cela pourrait venir à présent qu'il a débuté sa vie maritale.
SupprimerSAI le Grand-duc George Mikhailovitch de Russie (1981)
RépondreSupprimerLe grand-duc Georges de Russie.
RépondreSupprimerJe me permet une petite question car ne suis pas certain si j'ai la bonne identification, es ce que les parents de notre Illustre Monsieur porte des prénoms composé, et ses parents serait divorcés? Merci de votre précieuse aide, salutation
RépondreSupprimerSes parents sont bien divorcés et son père a un prénom composé mais pas sa mère.
SupprimerLes parents divorcés, oui, après près de 9 ans de mariage.
SupprimerPour les prénoms de ses parents, oui pour son père qui après le divorce a repris son double prénom de naissance ; pour la mère, je dirais non : elle a un prénom unique, mais on peut s’orienter malgré tout dans la direction que vous dites, car dans le pays d’origine de la famille maternelle de l’inconnu il est d’usage de faire suivre votre prénom de celui de votre père, assorti d’une désinence qui vous situe comme «fils de» ou «fille de»… dans pas mal de nations on trouve ce rappel de filiation ; pensez au «Fitz+prénom» dans certains comtés britanniques, aux Irlandais dont beaucoup s’appellent «O’+ quelque chose», aux Arabes avec leur «Bin» (fils de) ou «Bint» (fille de) ;
en Péninsule Ibérique aussi, il y a tous les Álvarez, Martínez, Rodríguez, Sánchez, et autres qui nous renvoient des siècles en arrière, quand ne s’était pas établi le principe du patronyme et qu’on se désignait comme «enfant de» Álvaro, Martín, Rodrigo, Sancho etc… (au Portugal, même principe qu’en Espagne, mais le suffixe est «es» au lieu de «ez» ; aujourd’hui ces « collages » sont devenus des noms à part entière, mais c’est bien le même principe qui se perpétue chez l’enfant de la photo, et s’il a des enfants un jour, cela se produira aussi (pour Jo L –post de 11heures 43-, non, il n’est pas encore père de famille, ou alors ça se saurait, mais comme il est marié de fraîche date, espérons pour lui qu’il le sera bientôt)
Dans la culture de la mère de notre énigme, la dénomination des personnes comporte trois éléments: le prénom, le patronyme (ou plus rarement, matronyme) et le nom de famille. Sans le désigner ainsi, vous expliquez bien ce qu'est, ici, l'élément intermédiaire, le patronyme. En occident, le terme de patronyme se confonds (et remplace) le nom de famille mais en Europe orientale, les deux vont de pair puisque le patronyme marque uniquement la filiation (fils ou fille de) et change à chaque génération tandis que le nom de famille reste identique et a la même valeur que chez nous. Quel que soit la région d'Europe, en aucun cas le patronyme ne peut être considéré comme un deuxième prénom.
SupprimerJe mentionne le cas particulier de l'Islande, pays où le nom de famille est un patronyme qui change à chaque génération; A tel point que, dans l'annuaire, les gens sont répertoriés par leur prénom. Cela fait longtemps que les autres pays scandinave ont abandonné ce système et on fixé, comme en France ou en Espagne, les noms de famille une bonne fois pour toutes. On peut s'appeler Johannsen (littéralement "fils de Johann") sans que son père se prénomme Johann et en étant de sexe féminin. Chez les islandais, on sera Jónsson ou Jónsdóttir selon son sexe et cela tiendra lieu de nom de famille.
Un autre cas particulier, qui nous ramène à notre inconnu, est celui des personnes qui se convertissent à la religion orthodoxe. Elles prennent alors un autre prénom que le leur et un patronyme qui, sans rapport avec leur filiation biologique, honore un saint de l'église orthodoxe. Par exemple, Alexandra Feodorovna pour Alix de Hesse (dont le père, luthérien, s'appelait Ludwig).
Le père de notre énigme a dû en passer par là et le patronyme que porte le bambin, a été formé sur le prénom qu'il a reçu lors de son baptême dans sa nouvelle foi. Après son divorce, il est revenu à sa religion d'origine.
Je me suis carrément trompée.
RépondreSupprimer... bien sûr ce petit garçon n'a pas (encore) d'enfant.
Grand duc Georg Mickhailovitch de Russie
RépondreSupprimerLe grand duc Georges de russie
RépondreSupprimerIl est fils unique.
RépondreSupprimerGeorges Mikhaïlovitch de Russie (1981)
RépondreSupprimerGeorges Mikhaïlovitch de Russie (1981),merci (Daniele,B)pour votre petit indice du tour de taille, salutation
RépondreSupprimerNotre Illustre Monsieur descend de 2 Empereurs, de 2 pays différents et d'une Grande Reine ,merci (Daniele,B)pour votre indice de tour de taille salutation
RépondreSupprimerGeorges De Prusse devenu Georges de Russie
RépondreSupprimerOui Danièle ...le tour de taille , encore que sa mère fut une très belle mariée et son grand père"breton" un bel homme. Bonne journée , nous c'est tempête aujourd'hui
RépondreSupprimerC’est vrai que, jeune, elle était fort belle, son mari aussi, mais voilà, ils se sont laissé aller, et plus encore après leur séparation : dommage, car ils furent un beau couple ; quant à leur petit, il a commencé à leur emboîter le pas, beaucoup trop tôt pour ce puisse être rattrappable ; mais au fond, peut-être y a-t-il un facteur génétique car même au temps de la photo il présentait de petites rondeurs qui déjà posaient question
Supprimeril s'agit du grand duc Gueorgui Mikhaïlovitch de Russie ,il est l'un des prétendants au trône Romanov par sa mère, il est également prince de Hohenzollern par son père
RépondreSupprimerp
Les commentaires sur le tour de taille sont d'un goût douteux.
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