1-Antonio de Orleáns y Borbón, infant d'Espagne, duc de Galliera 1866-1930,
2-Eulalia de Borbón y Borbón, infante d'Espagne 1864-1958.
Ils se marièrent pour raison d'Etat le 6 mars 1886 et eurent trois enfants:
-Alfonso 1886-1975,
-Luis Fernando 1888-1945,
-Roberta, mort-née le 12 mars 1890.
Le couple se sépara en 1900.
1: l'infant Don Antonio de Orléans y Borbón, duc de Galliera (1866-1930)
RépondreSupprimer2: l'infanta Doña Eulalia (1864-1958)
Deux cousins germains dont le mariage plutôt chaotique ne dura pas longtemps ...
RépondreSupprimerPartie(s) du Gotha, s'il vous sied ?
RépondreSupprimerMerci par avance "royautes"
I° partie.
SupprimerIls étaient tous les deux nés en février, la 2 ayant vu le jour deux ans avant le 1.
RépondreSupprimerL'infante Doña Eulalia (1864-1958) et son époux l'infant Antonio d'Orléans
RépondreSupprimerdes époux mais aussi des cousins germains
RépondreSupprimer1-Don Antonio d'Orléans y Borbón, infant d'Espagne, prince d'Orléans.
RépondreSupprimer2-Son épouse, née infante Eulalia d'Espagne.
Prince Antoine d`Orléans et l`infante Eulalia de Bourbon
RépondreSupprimernous les avons déjà rencontrés sur notre site, ensemble et/ou séparément, par exemple il y a 8 ans, en compagnie de son deuxième enfant, ou plus près de nous: voici 3 ans; et encore en d'autres circonstances
RépondreSupprimerà l'époque leur couple existait encore, du moins pour la façade, mais après les naissances de leurs 2 enfants chacun a vécu de son côté et leur séparation fit scandale à cette époque.
RépondreSupprimerCe couple ne fut pas heureux tant les caractères des époux étaient différents. Madame est en effet une jeune femme très cultivée qui s'était mise à l’écriture après un voyage qui l'avait beaucoup marquée de l'autre côté de l'Atlantique; on peut aussi dire qu'elle était une féministe avant l’heure. Inversement monsieur était tout à fait immature, volage, et trompait son épouse ouvertement et sans vergogne
RépondreSupprimerCette photo a probablement été prise pendant la courte période où ces cousins germains étaient ensemble, soit une fourchette de cinq années environ.
RépondreSupprimerLe mariage avait déjà été une contrainte pour la 2 et le comportement du 1 mena le couple droit vers la séparation. La dessus, l'un des fils du couple suivit le mauvais exemple paternel et, d'après certains observateurs de l'époque, réussit même à le surpasser.
à peine 9 mois après leur mariage ils ont accueilli leur premier enfant puis le 2ème juste 2 ans après, et encore 2 ans plus tard leur seule fille, morte en bas âge
RépondreSupprimerLeur fille n'est pas décédée en bas âge; elle est mort-née. La plupart des sites ne la mentionnent pas puisqu'elle n'a jamais vécu.
Supprimer«Leur fille n'est pas décédée en bas âge; elle est mort-née. La plupart des sites ne la mentionnent pas puisqu'elle n'a jamais vécu.» : il est vrai, Cecil, qu’elle apparaît peu sur les principaux sites de recherche dynastico-généalogiques, et pourtant il arrive qu’elle y soit nommée «Roberte», et c’est ce qui m’avait amenée à évoquer une enfant morte en bas âge et non mort-née ; mais quelle que soit la réalité, c’est un bien triste destin pour un bébé, n’est-ce pas ?
SupprimerUn ami et sa femme ont du faire face à cette situation. Leur premier fils est mort dans le ventre de sa mère à la fin de la grossesse. Pour eux c'était un enfant; pour le reste du monde, c'était seulement un fœtus. Sur le plan légal, on ne peut le qualifier d'enfant que s'il a respiré au moins une fois. C'est comme ça. On doit bien mettre les limites quelque part. Il n’empêche que pour des parents, perdre leur bébé de cette manière est vécu douloureusement et ils ne l'oublieront jamais car pour eux, cet enfant a existé et a une histoire.
SupprimerJe pense qu'il en a été ainsi pour la 2 (le 1, je ne suis pas sure).
Madame est officiellement la fille du mari (et cousin) de sa mère, mais il semble que ce monsieur ne soit pas pour grand chose dans la conception de ses rejetons; par chance les amants existent et sont bien utiles pour régénérer le sang des dynasties trop "consanguinisées"
RépondreSupprimerDuc et duchesse de Galliera, Prince Antoine d'Orléans et son épouse Eulalie, née princesse de Bourbon, infante d'Espagne et propre fille de la reine d'Espagne Isabelle II.
RépondreSupprimerEulalie de Bourbon et Antoine d'Orléans
RépondreSupprimerL'infant Antonio d'Espagne, duc de Galliera et L'infante Eulalia d'Espagne.
RépondreSupprimerAntónio Maria Luis de Orleáns y Borbon, infante de España, 4º Duque de Galliera
RépondreSupprimer23/02/1866-24/12/1930)
María Eulália de Borbón, infanta de España (12/12/1864-08/03/1958)
1-Antoine d'Orléans (1866-1930), petit-fils du roi Louis-Philippe 1er
RépondreSupprimer2-Eulalie de Bourbon (1864-1958), fille de la reine Isabelle II, son épouse
Indices pour la fin du jeu.
RépondreSupprimerDicton en référence au prénom de la N°2 :
Si le soleil luit à la Sainte ..., pommes et poires à la folie.
3 dictons en référence au prénom du N°1
Pour la Saint ..., les jours croissent comme la barbe d'un moine.
Qui sème sa salade à Saint ..., en a comme la barbe d'un moine.
Saint ... sec et beau, emplit cuves et tonneaux.
Merveilleuse idée , Pala , et poétique , mais nous ne devons pas avoir tout à fait les mêmes dictons , je n'ai encore rien trouvé . . C'est moi qui m'arrache les cheveux !
SupprimerDoudou.
SupprimerAllez dans le pays de ma reine-consort préférée qui n'est pas forcément très appréciée par certains en raison de la raideur de sa gestuelle (elle se tient toujours très droite, comme moi).
Vraiment merci , ma chère Pala , j'ai trouvé .
SupprimerUn petit coucou amical !
L' infant Antonio d' Orleans, duc de Galliera, et l' infante Eulalia de Bourbon.
RépondreSupprimerLe 1 a relevé un titre qu'un héritier numismate a refusé de porter.
RépondreSupprimerLe second fils du couple a fait un mariage atypique qui lui a sans doute permis de "se sucrer" (toutes mes excuses pour cette familiarité), mais il n'avait pas le Béghin.
j'espère pour lui que fils de notre couple ne souffrait pas de diabète...
SupprimerToutes mes excuses : ce n'est pas le 1 qui a relevé un titre refusé par un héritier, mais son père dont il portait le prénom. Le 1 a donc été le deuxième de sa lignée à porter ce titre.
Supprimerà propos du titre relevé par le père du 1, en effet, chère Martine-M, vous avez parfaitement raison: le 1 est le 2ème porteur de sa famille, mais il est le 4ème porteur de façon plus générale: le titre était tout d'abord porté dans un autre pays avant d'être légué au père du 1. Le titre s'est dès lors transmis de façon plus classique, en ligne directe, tout d'abord au fils aîné de notre couple, seul de leurs enfants à avoir eu une descendance, puis à la descendance de celui-ci: nous en sommes au 7ème titulaire depuis la création, et donc au 5ème depuis que le titre est tombé dans l'escarcelle familiale: tous les 5 ont en commun de porter des prénoms commençant par la même initiale, tout comme l'actuel héritier.
SupprimerL,Infante Eulalie de Bourbon (1864-1958) et l,Infant Antoine d,Orléans (1866-1930) ,ducs de Galliera.
RépondreSupprimerLLAARR l'infant d' Espagne Antoine d' Orléans et Bourbon duc de Galliera et l'infante d' Espagne Eulalie de Bourbon et Bourbon duchesse de Galliera
RépondreSupprimerEn ce qui concerne ce second fils n'avait il pas 30'ans de moins que son épouse fortunée, veuve et mère de 5 enfants ?
RépondreSupprimer(1)Antoine Marie Louis Philippe Jean Florent d'Orléans, infant d’Espagne et quatrième duc de Galliera (en Italie) est né à Séville le 23 février 1866 et est mort à Paris le 24 décembre 1930.
RépondreSupprimer(2)S.A.R. La Princesse Eulalie de Bourbon née le 12 février 1864 à Madrid et morte le 8 mars 1958 à Irun, est une infante d'Espagne et duchesse de Galliera.
Merci de vos indices si précieux en particulier (Pala)salutation
L’illustre Dame inconnue (2) est la fille d'une Reine qui est décédée à Paris.
RépondreSupprimerLe fils aîné de nos illustre inconnu (es)a épousé une petite fille de la Reine Victoria.
Le Monsieur (1) avait le même prénom que son père qui commence par une Voyelle,salutation
à 42 ans, leur dernier fils a épousé une veuve de 73; bien évidemment aucune descendance n'allait survenir! mais ce mariage allait causer autant de scandale que la séparation de "notre" couple; tel père, tel fils: monsieur 1 de la photo fils avait transmis ses défauts à son dernier fils, lequel était considéré comme le plus dépravé de sa maison
RépondreSupprimer1. Prince Antoine d'Orléans (1866-1930 )
RépondreSupprimer2. Princesse Eulalie d'Espagne (1864-1958)
incapable de la moindre fidélité à l'égard de son épouse, monsieur ne l'était pas plus à l'égard de ses multiples maîtresses; l'une d'elles en particulier, compatriote de Bécassine, qui avait gardé une dent contre lui au point de lui en casser plusieurs en le frappant avec son ombrelle
RépondreSupprimer1) Antoine d'Orléans (1866-1930)
RépondreSupprimer2) Eulalie de Bourbon (1864-1958)
Eulalie de boubon et antoine d orleans
RépondreSupprimerEtant compatriote de Becassine, je rappelle que cette maitresse a.beaucoup oeuvré pour la culture.bretonne
RépondreSupprimerBreton également Bécassine n'est pas ma cousine ce personnage grotesque n'est pas ma tasse de thé :))
SupprimerLady Mond très appréciée en Bretagne à l'inverse d'une certaine B...
SupprimerLLAARR l'infante Eulalia d'Espagne (1864-1958) et son cousin et époux le prince Antonio d'Orléans, duc de Galliera (1866-1930)
RépondreSupprimerC,est une boutade Vincent... Becassine est née en 1905.
RépondreSupprimerje sais très bien qui est Bécassine c'est ça le problème .... épidermique chez certains bretons
SupprimerRevenons a notre couple,le monsieur eut donc pour maitresse une dame tres investie dans la connaissance de la culture bretonne et celte..
RépondreSupprimer